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Thea Schrack

Thea Schrack

Thea Schrack is a photographer with a penchant for the past. Her photographic forays have taken her to English country estates and Czech castles in search of places with a sense of beauty and mystery. Schrack's fascination with architecture and landscapes produces photographic work, which predominantly figures structures and gardens steeped in antiquity.

Schrack's photographs are decidedly complex images involving countless shapes and textures. There is a Gothic sensibility which permeates her work, in the solitude of the Czech castle ruins, elongated shadows, moss laden trees, arrested fountains and open gates Schrack uses the photographic medium to transform, or possibly even romanticize, small vignettes of our world. She aspires to capture the essence of the subject through the balance of the absolute and a dream of bringing it into a new existence.

Schrack is constantly captivated by the role of light within her work. She experiments with photographing the same image at different times of day. The picture at noon will be different from the picture at 8:00 AM, she states. Schrack also favors visiting the site several times to perceive the subtle diurnal and more evident seasonal changes and to develop an increased sense of the beauty of nature within the area.

The pervasive ethereal, somnambulistic effect throughout her work is derived from an amalgamation of her subject choice, film and developing techniques. Her use of infrared film overexposes the lights and intensifies the darks, producing work, which embodies her desire for a sense of mystery. Schrack works with a sepia-toned printing process, which involves bleaching and toning, further accentuating the lights and darks within the photograph. The ghostly paleness created by the infrared film relates the atmosphere of a reverie.

Finding 35mm cameras severely confining in size, Schrack shoots mostly with a modern Japanese Widelux panorama camera and cites Josef Sudek, the late Czech photographer, as an inspiration particularly for his work with the panorama camera. She favors the wider format, supplemented by infrared film, for its superior ability to encompass and complement the complexity of her work.

Thea Schrack est une photographe passionnée par le passé. Ses explorations photographiques l’ont menée jusqu’aux domaines anglais et aux châteaux tchèques, à la recherche de lieux empreints de beauté et de mystère. La fascination de Schrack pour l’architecture et les paysages donne naissance à des œuvres photographiques où dominent principalement des structures et jardins chargés d’antiquité.

Les photographies de Schrack sont des images résolument complexes, mêlant une multitude de formes et de textures. Une sensibilité gothique imprègne son travail, avec la solitude des ruines de châteaux tchèques, les ombres allongées, les arbres couverts de mousse, les fontaines figées et les portails ouverts. Schrack utilise la photographie pour transformer, voire romantiser, de petites scènes de notre monde. Elle aspire à capturer l’essence du sujet par un équilibre entre l’absolu et le rêve de lui donner une nouvelle existence.

Schrack est constamment captivée par le rôle de la lumière dans son œuvre. Elle expérimente en photographiant la même scène à différentes heures de la journée. La photo prise à midi sera différente de celle prise à 8 h, dit-elle. Schrack préfère aussi visiter plusieurs fois un site pour percevoir les subtils changements diurnes et les plus évidents changements saisonniers, développant ainsi une meilleure appréciation de la beauté naturelle du lieu.

L’effet éthéré et somnambulique qui traverse son travail provient d’un amalgame de son choix de sujets, de la pellicule et des techniques de développement. Son usage de la pellicule infrarouge surexpose les lumières et intensifie les ombres, produisant des œuvres qui incarnent son désir de mystère. Schrack travaille avec un procédé d’impression sépia qui implique un blanchiment et une tonification, accentuant davantage les contrastes clairs-foncés de la photographie. La pâleur fantomatique créée par la pellicule infrarouge évoque l’atmosphère d’une rêverie.

Trouvant les appareils 35 mm trop limités en taille, Schrack utilise principalement un appareil panoramique japonais moderne Widelux et cite Josef Sudek, le défunt photographe tchèque, comme une source d’inspiration, en particulier pour son travail avec l’appareil panoramique. Elle privilégie ce format plus large, associé à la pellicule infrarouge, pour sa capacité supérieure à englober et compléter la complexité de son travail.

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