Marta Wiley's art is as colorful, captivating, and varied as the artist herself. Born in Mexico City, Wiley is of European, Irish and Cherokee descent. As a child, there was a wild streak in young Marta that her grandmother, also an artist, helped channel into the fine arts. Time and maturity have not stilled the childhood energy and verve of this artist. Wiley's passions run as deeply and soulfully as her dignified figurative creations.

My concerns are for the planet, the evolution of the human species, and the balance between the environment and those who are responsible for its continuation. I believe in being aware of personal actions and reactions in order to place the utmost responsibility on the individual. I believe in the individual as a source of ultimate manifestation - in balance and beauty with all living creatures. This is what turns me on the most - the ultimate attainment of the Highest Self - physically, mentally, emotionally, and spiritually.

It seems that Wiley's quest for Highest Self has led down several avenues of expression. In addition to her poignant and intense concern for the environment, Wiley is a gifted singer and songwriter. Her inspirations follow varied paths - from the mystical and mythological experimental films of Maya Daren, to the far-reaching expanses of Carlos Castenada's writing to meditation and self-imposed discipline. These inspirations are all evidenced through her art - the dreamlike and alluring figuratives, the romantic, fantastical quality of her settings, the bold texturing and decisive detailing. All combine to produce a piece that is equally seductive as contemplative.

Wiley credits her grandmother with teaching her everything she knows about painting. Additional influences are the work and technique of Sargent, Edvard Munch, and Kathe Kollowitz. Wiley was formally trained at Otis Parsons School of Design. While her idealistic time periods are the Renaissance and the time of Atlantis, her peeves center on much more temporal subjects - whiners, complainers and bullies. If current acclamation of her work is any indication, Wiley, or at least her art, won't have anything to worry about.

L’art de Marta Wiley est aussi coloré, captivant et varié que l’artiste elle-même. Née à Mexico, Wiley est d’ascendance européenne, irlandaise et cherokee. Dès son enfance, une énergie sauvage animait la jeune Marta, que sa grand-mère, également artiste, a su canaliser vers les beaux-arts. Le temps et la maturité n’ont jamais atténué la vivacité ni la passion de cette artiste. Les préoccupations de Wiley sont aussi profondes et empreintes d’âme que ses créations figuratives dignes et expressives.

" Mes préoccupations portent sur la planète, l’évolution de l’espèce humaine et l’équilibre entre l’environnement et ceux qui en sont responsables. Je crois qu’il faut être conscient de ses actions et réactions personnelles afin de placer la responsabilité ultime sur l’individu. Je crois en l’individu comme source de manifestation ultime — en équilibre et en harmonie avec toutes les créatures vivantes. C’est ce qui me passionne le plus — atteindre le Moi supérieur dans toutes ses dimensions : physique, mentale, émotionnelle et spirituelle. "

La quête de Wiley pour atteindre ce Moi supérieur s’exprime de multiples façons. En plus de son engagement intense et poignant pour l’environnement, Wiley est une chanteuse et auteure-compositrice talentueuse. Ses inspirations sont diverses — des films expérimentaux mystiques et mythologiques de Maya Daren, aux vastes écrits de Carlos Castaneda, jusqu’à la méditation et la discipline personnelle. Toutes ces influences se reflètent dans son art — des figures oniriques et séduisantes, des décors romantiques et fantastiques, des textures audacieuses et des détails précis. Le tout crée des œuvres à la fois séduisantes et contemplatives.

Wiley attribue à sa grand-mère tout ce qu’elle sait sur la peinture. Ses autres influences majeures sont les œuvres et techniques de Sargent, Edvard Munch et Käthe Kollwitz. Elle a reçu une formation officielle à l’Otis Parsons School of Design. Bien que ses périodes idéalisées soient la Renaissance et l’époque de l’Atlantide, ses irritations portent sur des sujets beaucoup plus quotidiens — les râleurs, les plaintifs et les intimidateurs. Si le succès actuel de son travail est un indicateur, Wiley, ou du moins son art, n’aura rien à craindre.