Pere Camps was born in Sabadell, Barcelona in 1929. From a very early age, he decided to use his artistic skills to explore his great passion, landscapes.

He attended the School of Applied Arts and Crafts in Barcelona, where he concentrated in sculpture. In 1949, he held his first exhibition at The Fine Arts Academy in Sabadell. Exhibits in Barcelona and Madrid soon followed. After a prolonged stay in Morocco, Camps took part in the country’s National Exhibition of Fine Arts. His stint in Morocco was followed by a move to Paris, where he wed, and Costa Brava, where he finally settled. Soon his work was being widely exhibited throughout Spain. By the late seventies, Camps had exhibited at prestigious galleries throughout Europe, and the U.N. Headquarters in Geneva.

Pere Camps is drawn to quiet, calm, and cool landscapes. He usually paints at dawn or dusk, which he believes offers the most beautiful light. His work embraces the sense of infinity afforded by large spaces, and he often loses track of where the landscape ends and he begins.

Pere Camps est né à Sabadell, près de Barcelone, en 1929. Dès son plus jeune âge, il choisit de mettre ses talents artistiques au service de sa grande passion : les paysages.

Il poursuit des études à l’École des arts appliqués et des métiers d’art de Barcelone, où il se spécialise en sculpture. En 1949, il présente sa première exposition à l’Académie des beaux-arts de Sabadell. Des expositions à Barcelone et Madrid suivent rapidement. Après un long séjour au Maroc, où il participe à l’Exposition nationale des beaux-arts, il s’installe à Paris, puis à la Costa Brava, où il élit domicile. Dès lors, ses œuvres sont largement exposées à travers l’Espagne. À la fin des années 1970, il expose dans des galeries prestigieuses en Europe, notamment au siège des Nations Unies à Genève.

Attiré par les paysages calmes, paisibles et aux tonalités fraîches, Pere Camps privilégie les instants de l’aube ou du crépuscule, qu’il considère comme les moments offrant la lumière la plus belle. Son œuvre évoque un sentiment d’infini propre aux grands espaces, où les frontières entre le paysage et l’artiste semblent parfois s’estomper.